Avec l'arrive de Paolo Sella dans l'entreprise en 1984, la Lino Sella World a entamé un grand processus d'internationalisation; aujourd'hui, les exportations représentent 90% du chiffre d'affaires de l'entreprise.
Un point fort de la stratégie adoptée était de comprendre immédiatement l'importance du marché africain, en particulier de l'Afrique subsaharienne et de créer un réseau dense d'agents et de revendeurs sur place.
Bien que de nombreuses années se soient écoulées, l'économie africaine continue de croître, comme l'écrit Lorenzo Tavazzi, associé et responsable du domaine des scénarios et du renseignement de "La Maison européenne - Ambrosetti", dans son article "La nouvelle grande opportunité est la Afrique sub-saharienne" Tavazzi écrit: «Les États africains ont marqué des résultats de développement avec une vitesse et une ampleur vues à plusieurs reprises dans l'histoire. Aujourd'hui, 6 des 10 économies à la croissance la plus rapide au monde se trouvent dans ce domaine (Angola, Nigéria, Éthiopie, Tchad, Mozambique et Rwanda) et la Banque mondiale prévoit que sa classe moyenne doublera entre 2020 et 2030, dépassant celle de l'Inde.
C'est donc tout un continent en «mouvement» de près d'un milliard de personnes qui aura besoin de nourriture (la FAO estime que la demande alimentaire de la région va augmenter de 3% par an), de produits et de biens de consommation (avec des normes de qualité plus élevées actuel), les services, le logement (d'ici 2020, plus de 50% de la population - près de 700 millions - vivront dans les villes), etc.
Pour répondre à la nouvelle question, tous les principaux pays subsahariens promeuvent des investissements de grande ampleur: infrastructures, énergie, construction, réseaux de communication, systèmes d'eau. Selon la Banque africaine de développement, l'écart à combler vaut 200 billions de dollars par an."
M. Paolo Sella l'avait déjà compris il y a plus de 30 ans et grâce à sa politique d'investissement aujourd'hui dans de nombreux pays africains pour demander ou parler du une bétonnière, ils demandent une Lino Sella.
Un point fort de la stratégie adoptée était de comprendre immédiatement l'importance du marché africain, en particulier de l'Afrique subsaharienne et de créer un réseau dense d'agents et de revendeurs sur place.
Bien que de nombreuses années se soient écoulées, l'économie africaine continue de croître, comme l'écrit Lorenzo Tavazzi, associé et responsable du domaine des scénarios et du renseignement de "La Maison européenne - Ambrosetti", dans son article "La nouvelle grande opportunité est la Afrique sub-saharienne" Tavazzi écrit: «Les États africains ont marqué des résultats de développement avec une vitesse et une ampleur vues à plusieurs reprises dans l'histoire. Aujourd'hui, 6 des 10 économies à la croissance la plus rapide au monde se trouvent dans ce domaine (Angola, Nigéria, Éthiopie, Tchad, Mozambique et Rwanda) et la Banque mondiale prévoit que sa classe moyenne doublera entre 2020 et 2030, dépassant celle de l'Inde.
C'est donc tout un continent en «mouvement» de près d'un milliard de personnes qui aura besoin de nourriture (la FAO estime que la demande alimentaire de la région va augmenter de 3% par an), de produits et de biens de consommation (avec des normes de qualité plus élevées actuel), les services, le logement (d'ici 2020, plus de 50% de la population - près de 700 millions - vivront dans les villes), etc.
Pour répondre à la nouvelle question, tous les principaux pays subsahariens promeuvent des investissements de grande ampleur: infrastructures, énergie, construction, réseaux de communication, systèmes d'eau. Selon la Banque africaine de développement, l'écart à combler vaut 200 billions de dollars par an."
M. Paolo Sella l'avait déjà compris il y a plus de 30 ans et grâce à sa politique d'investissement aujourd'hui dans de nombreux pays africains pour demander ou parler du une bétonnière, ils demandent une Lino Sella.
